Les journées passaient dans un classe pérenne, harmonisés avec la clarté pâle du nord et les refontes ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient lentement, en spirale, notamment si le ciel lui-même les désirait à signaler des symboles surnaturels. L’enfant, désormais adolescente, se tenait tout matin au foyer du cercle

Les rayons du soleil commençaient à se frayer un chemin de partout dans le foisonnement des arbres, baignant la forêt d’une éclairage doré lorsque Lauriana reprit sa métamorphose. Ses pas résonnaient dans l’humus humide, et tout bruissement semblait s’accorder avec son humour. Elle portait encore en elle l’énergie ressentie dans le